Nouvelle Zélande – Afrique du Sud, 7 points clés du match + pronostic !

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Nouvelle Zélande – Afrique du Sud, 7 points clés du match + pronostic !

Pronostic pour le match Nouvelle Zélande – Afrique du Sud pour la finale du championnat du Monde de rugby 2023, explorons 7 clés du match pour déterminer qui va gagner.

Tout d’abord, vous devez savoir que parier sur un sport comme le rugby est particulier.

Il y a des informations vitales à prendre en compte pour éviter des déroutes magistrales, voici quelques conseils.

Alors, Nouvelle Zélande ou Afrique du Sud, quelle équipe va remporter la finale ?

Un match basé sur des détails.

Cette finale réunie deux équipes parmi les meilleurs du monde. Habituée aux phases finales, aux finales et même aux victoires en coupe du monde.

Le très haut niveau est là.

Deux équipes au niveau presque similaire et cette finale va se jouer comme souvent sur des détails.

Explorons les détails pouvant faire basculer ce Nouvelle Zélande – Afrique du Sud.

La dimension physique

Un jour de repos en plus.

Les Blacks ont joué ce samedi 21 octobre et les Springboks ce dimanche 22 octobre.

Avec seulement 24 h d’écart seulement me direz-vous.

Toutefois, ces 24 h de différences c’est autant de temps pour les organismes néo-zélandais de se reposer, de se réparer.

Ce jour de repos en plus pourrait avoir son importance dans le match, particulièrement passé la 60 ème minute…

Un engagement physique impressionnant.

On connaît le jeu sud africain. Très physique, impactant pour les organismes.

L’équipe semble d’ailleurs très marquée à chaque fin de match.

C’est leur stratégie de jeu depuis des décennies. Ils sont préparé physiquement à ce type de jeu rugueux.

Alors, où est le problème ?

Un joueur en particulier pourrait explosé physiquement.

Après avoir joué 20 minutes face à l’Écosse, puis l’intégralité des matchs face à : la Roumanie, l’Irlande, la France et là, l’Angleterre.

Sans aucun autre talonneur de métier sur le banc pour le remplacer.

Mbonambi, n°2 sud africain est ultra utilisé.

On l’a vu, il peine à terminer les matchs de haute intensité.

Face à l’Irlande, la France et l’Angleterre, les 20 dernières minutes ont été poussives pour le talonneur expérimenté de 32 ans.

De plus, il a montré plusieurs difficultés musculaires aux cuisses avec interventions des médecins et strap pour terminer le match face à l’Angleterre.

Ce match face aux Blacks s’annonce particulièrement dense et épuisant, comment va-t-il tenir 80 min ?

Sera-t-il remplacé par un joueur qui n’est pas talonneur en cours de jeu pour ce match crucial ?

Du côté des néo-zélandais, les organismes sont moins touchés.

Avec un jeu où les arrières sont souvent mis à contribution avec leur jeu de mouvement, les joueurs avants sont plutôt épargné en comparaison à leur homologues sud africains.

Moins énergivore que le jeu sud africains, le jeu néo-zélandais permettra aux joueurs de bénéficier de plus de ressources pour cette finale.

La fraîcheur physique, clé du match ?

En terme de fraîcheur physique et de ressources, les néo zélandais n’ont pas eu à puiser dans leur ressource depuis le début de la compétition. Les All Blacks sont clairement avantagés par rapport aux Springboks avant cette finale dans la dimension fraîcheur physique.

Avantage Nouvelle Zélande !

La confiance des collectifs ?

Il y a eu 2 équipes All Blacks.

La première, méconnaissable, loin de l’équipe 5 étoiles qui a créée et entretenue la légende. Et celle d’aujourd’hui, qui s’avance pour jouer la finale. Entre les deux, il y a un gouffre abyssale.

Avant tournoi, les Blacks étaient à la peine. Loin de leur standard habituels, ils ont conclus leur préparation à la Coupe du Monde par un score historique !

Un 35 à 7, infligé par les sud africains, la pire défaite de leur histoire.

Rugby : l’Afrique du Sud inflige la pire défaite de leur histoire aux All Blacks (france24.com)

La défaite lors du match inaugurale face à la France, a confirmée cet état léthargique de la Nouvelle Zélande.

Puis, la mutation a eu lieu. Match après match, la mayonnaise a prise. Le collectif, la rapidité, la précisions et les passes après contacts sont revenus dans leur jeu.

La Nouvelle Zélande à :

  • Logiquement balayée les équipes mineures comme la Namibie, l’Uruguay.
  • Pulvérisé l’Italie, nation intermédiaire.
  • Eprouvé des difficultés face à l’Irlande et encore plus face à la France.

Le parcours de la Nouvelle Zélande montre une montée en puissance de l’équipe.

Concernant l’Afrique du Sud, c’est sur courant alternatif. Tantôt sérieux, rapide et dévastateur, tantôt maladroit, sans solution et manquant d’automatisme.

Le parcours de l’équipe Springboks :

  • Déroule face aux nations mineures comme la Roumanie, le Tonga.
  • Éprouve des difficultés face aux nations intermédiaires : l’Écosse.
  • Est dans la douleur face aux nations majeures telles que l’Irlande, la France ou l’Angleterre.

Plutôt logique me direz-vous.

Pour autant, ils ne rassurent pas. Les sud africains semblent passer de justesse sans convaincre. Leur jeu est poussif, sans inspiration et repose sur des exploits individuels.

L’équipe qui mise beaucoup sur le jeu physique et athlétique de ses joueurs semble marquer le pas et éprouver les limite de cette stratégie. Surtout avec un effectif de plus de 29 ans en moyenne.

Psychologiquement, c’est confiance retrouvée vs doute ?

Entre une équipe qui monte en puissance et une autre qui semble atteindre ses limites à chaque matchs, avantage logique pour les Blacks.

Que nous dises les phases finales ?

Côté Nouvelle Zélande.

Une victoire logique 44 à 6 face à l’Argentine.

En rentrant au vestiaire sur le score de 20 à 6 à la mi-temps, les Blacks avaient déjà enterré les espoirs Argentins. La dimension physique et athlétique des deux équipes ne laissait pas grandes chances d’espérer un retour des Pumas dans la partie.

Cette demie finale côté All Black était un match d’entraînement.

Oui, la Nouvelle Zélande était bien au dessus de son adversaire du jour. Cette victoire avec cet écart est logique.

Les bookmakers s’attendaient à 19,5 pts d’écarts en faveur des blacks.

Ce match ne nous apprend rien que l’on sache déjà : les Blacks dominent les nations intermédiaires de la tête et des épaules. Leur confiance est maximum avec cette démonstration.

En quart, les néo-zélandais ont peiné pour s’imposer face à la première nation mondiale, l’Irlande.

La Nouvelle Zélande remporte les deux mi-temps : 18 à 17 en première mi-temps et 10 à 7 en seconde période.

En inscrivant 15 points à 0 en 20 minutes, les Blacks se sont fait ensuite reprendre par l’Irlande.

Une ultime pénalité, tapée à la 69 ème minute, permet aux Blacks de prendre 4 points d’avances sur les irlandais.

Attention toutefois à la discipline !

Les Blacks ont écopé de 3 cartons jaunes pour les deux matchs de phases finales. C’est beaucoup trop. Face aux sud africains, jouer à 14 pendant 10 minutes pourrait faire des dégâts au tableau d’affichage…

Côté Afrique du Sud.

Une victoire étriquée 16 à 15 face à l’Angleterre en demie.

L’Afrique du Sud a relevé la tête grâce à un essai à la 69 ème minute. A ce moment, à 11 minutes de la fin du match, les Sprinbocks comptaient 9 points de retard sur l’Angleterre.

Un come-back surprise tant les deux équipes semblaient puiser dans leur ressource pour garder la tête hors de l’eau.

Les sud africains sont parvenus à maîtriser le jeu au pied des anglais après avoir été tenu en échec en première mi-temps 12 à 6.

La précision du buteur anglais a permis de maximiser les erreurs et fautes sud africaines au tableau d’affichage.

Au retour des vestiaires le coaching sud africain et leur densité physique a permis de laisser passer l’orage, ne pas paniquer face au score et reprendre progressivement le dessus.

Honnêtement, ce match a été terrible. Et peut-être plus terrible à regarder qu’à jouer (cette phrase contient une petite exagération).

Un match haché. Sans cesse coupé entre chaque action. Aucune fluidité. Parfois un miracle se produisit et les joueurs parvenaient à enchaîner 4 ou 5 passes…

La pluie n’a pas aidé à la qualité du jeu proposée par les deux équipes. Engluées dans un jeu fermé avec la peur au ventre de donner 3 points à l’adversaire, l’objectif était de l’emporter quelque soit la manière.

L’objectif a été atteint comme le dit le capitaine sud africain Siya Kolisi :

« Aujourd’hui, c’était vraiment moche […] Mais il faut aussi en passer par là pour être champions. Peu importe si le match était beau ou non, la victoire est toujours belle ».

En quart de final, l’Afrique du Sud a gagné face à la France qui jouait à domicile. Un match tout aussi incertain 29 à 28.

Le scénario est presque que le même : la France remporte la première mi-temps avec un score de 22 à 19. Retour des vestiaire, coaching sud africain, essais transformé à la 67 ème minute puis pénalité à la 69 ème minute.

Victoire des sud africains au bout du suspense.

Les leçons des phases finales sur la forme des équipes.

Entre le néo zélandais en pleine maîtrise et les Sud Africains qui réagissent une fois menés au score, avantage à ceux qui gère leur match, maîtrise leur jeu et l’emportent dans la confiance.

Avantage à la Nouvelle Zélande.

Match sans pression vs forte charge émotionnelle.

Entre ces deux équipes on assiste à un duel d’émotions en match.

Les sud africains et les montagnes russes d’un côté.

Les joueurs qui remontent au score et croise les doigts les dix dernières minutes que leur fragile avance au score suffise à passer.

De l’autre côté, les néo-zélandais et le calme plat du lac Léman…

Les joueurs qui semblent jouer en maîtrise totale, plus libérés, prendre plus de plaisir sur le terrain avec moins de pression.

Émotionnellement, Les springboks qui jouent sous pression sont plus épuisé par leur scénario de match.

Les Blacks eux ne semblent pas entamé psychologiquement par leurs différents matchs. Toujours en maîtrisent.

Psychologiquement, les Blacks semblent plus confiant et serein que les Springboks.

Toutefois, en terme de mental, les sud africains ont réussi à remonter deux fois au score dans ces phases finales. Deux remontées en fin de match avec le sérieux et la concentration que ça exige.

Niveau mental, les Blacks ont commencé à déroulé face à l’Irlande puis on vite perdu le fil. Un excès de confiance qui peut inquiéter ?

Un match au mental ?

Entre les deux adversaires de cette finale, ce sont des parcours différents dans la compétition.

Nous avons une équipe Blacks en confiance totale dans son jeu et une équipe sud africaine qui puise dans ses ressources pour l’emporter dans les 20 dernières minutes après avoir été menée au score.

Concernant le mental, les sud africains semblent plus armés que les néo-zélandais. Ils ont déjà affronté ces scénarios de match. Ils sont menés et doivent faire le dos rond pour revenir. Comment les blacks vont réagir si ils sont mené d’un ou deux essais au score ?

Avantage Afrique du Sud !

Le n°10 buteur, en manque de précision ?

Dans les matchs de phases finales, seuls la victoire compte. Il n’y a pas de points de bonus offensifs ou défensifs. Dans ce type match, le rôle du buteur est souvent décisif.

Et là, c’est le problème…

Que ce soit du côté Blacks ou Springboks, les buteurs sont en difficultés.

Côté Nouvelle Zélande, le demi d’ouverture titulaire Mo’unga doit s’entraîner cette semaine face aux poteaux

8 points laissés face à l’Argentine… et des points ratés a chaque match dans lequel il a joué. Même lors de la pulvérisation de l’Italie… 2 points perdu en route. Rien de dramatique pour ce match mais une imprécision récurente sur l’ensemble de la compétition.

Du côté de McKenzie ou Barrett qui dépannent de temps en temps face aux perches, il y a également du déchet et des points perdus…

A ce niveau là et dans des matchs aussi cruciaux, cette imprécisions pose problème.

En face, l’ouvreur Libbok compte quelques imprécisions face aux poteaux. Des points manqués sans réelles conséquences… Pour le moment.

Face à l’Angleterre, l’Afrique du Sud a sortie du banc son artilleur préféré pour permettre la victoire : Pollard.

Libbok a manqué une transformation (2 pts) en première période face à la France, il est remplacé en seconde période par Pollard qui assure les 5 points qui lui été confié.

Face aux anglais c’est le même scénario, Libbok marque la seule tentative proposée mais est changé pour raison tactique par Pollard à la 31 ème minute. Pollard a ensuite inscrits 8 points sans faillir.

Le jeune Libook (oui, 26 ans c’est jeune) remplit bien sa mission face aux perches (à condition d’oublier ces tirs face à l’Irlande et l’Écosse). Mais son entraîneur lui préfère l’expérience de Pollard, plus doué aux tirs longues distances.

Ces remplaçant face aux poteaux qu’on été de Klerk ou Willemse dans la compétition devraient avoir eux aussi des phases d’entraînement prévus face aux perches cette semaine.

Quel buteur mettra son équipe sur de bons rails ?

Bien entendu à ce niveau de jeu, les prestations des buteurs n’a rien de dramatique. Mais comme tous va se jouer sur les détails, on l’a vu 2 points peuvent changer un match, il faut être attentif à ce paramètre d’efficacité face aux poteaux.

Dans cet exercice, que ce soit le titulaire ou son remplaçant, les sud africains semblent mieux armés pour convertir leur points aux pieds.

Avantage Afrique du Sud.

Le coaching, l’arme de la seconde période.

Nienaber, le coach de l’Afrique du Sud a changé au cours de la compétition.

Un changement depuis le match difficile face à l’Irlande.

La première fois de la compétition que l’équipe sud africaine était menée au score à la pause.

Depuis, le staff sud africain a prit pour habitude de largement renouveler son XV titulaire dès le retour des vestiaires.

Face à l’Irlande, 6 changement dans les 10 première minute de la seconde mi-temps. 5 changement dans les mêmes configurations face au Tonga. Toujours dans les mêmes configurations, dans les 10 minutes de la deuxième mi-temps 7 changement face à la France. Puis, face à l’Angleterre 6 changement juste après la mi-temps.

Un coaching important pour relancer la machine Springboks avec une nouvelle équipe dès le début de la deuxième période.

Avec des tactiques de changement originaux ou complètement surprenant avec des titulaires au poste finalement remplaçants comme avec de Klerk sur le banc pour la France et l’Angleterre, Nienaber et Erasmus (directeur du rugby sud africain) interrogent et impressionnent à la fois. Il en va de même pour l’alternance entre les ouvreurs Pollard et Libbok qui jouent par alternance.

Du côté de la Nouvelle Zélande, les changements ont lieux de manière plus classique autour de l’heure de jeu.

Toujours avec la même stratégie de gestion d’équipe, le staff néo zélandais a bien définit le rôle de chacun entre titulaire et remplaçant.

Les remplaçants néo zélandais entrent comme impact player pour les 20 dernières minutes du match.

Le coaching pour débloquer le match.

Forcément, à ce niveau là, les bancs sont impressionnant. De part et d’autre.

Difficile d’extraire une réelle équipe type avec des remplaçant tellement les joueurs semblent interchangeables.

Que ce soit en terme d’expérience, de niveau de jeu, les remplaçants font le boulot depuis le début de la compétition.

Le coaching est complètement rentrée dans la stratégie de jeu de l’Afrique du Sud.

Clairement un coup de pouce pour terminer ses matchs, ces entrants permettent de remonter les points manquant après que les titulaires aient bien usés physiquement l’équipe adverse.

Pour la Nouvelle Zélande, on a du classique, rien de nouveau. Ça fonctionne bien, alors pourquoi en changer ? Malheureusement, l’équipe en face peut donc mieux se préparer à jouer leur vis-à-vis.

Les sud africains jouent eux à l’incertitude quand à la stratégie à adopter en face…

Plus d’information sur les coachings possible dans le match en retrouvant la composition de la Nouvelle Zélande et la composition de l’Afrique du Sud qui aligne d’entrée de jeu ces deux maîtres à jouer, Pollard et De Klerk.

Avantage Afrique du Sud pour le coaching.

Quel est le vrais niveau des équipes ?

Pour jauger le niveau des deux adversaires, on oublie les claques multiples infligées par ces mastodontes aux nations mineures du rugby mondiale.

Ce sont des matchs d’entraînement.

Le vrais niveau des blacks ne se lit pas dans son match face aux argentins. L’adversaire était bien trop modeste.

Face à la France, l’équipe était clairement en rodage. Leur préparation au tournoi semblait avoir une semaine de retard… D’où la montée en puissance de l’équipe au fil des matchs.

Je pense que le niveau de jeu All Blacks affiché face à l’Irlande est le bon.

Une victoire 24 à 28.

Une victoire dans la douleur.

Dans la compétition, les All Blacks n’ont jamais eu besoin de pousser leur talent. Souvent facile et dans la facilité, les Blacks ont été mis en difficulté seulement face à l’Irlande. Une grande nation du rugby.

Son niveau est donc ici, un peu au dessus de l’Irlande dans un match où seul un essai irlandais les auraient éliminé de la compétition.

Surpris par cette opposition, ont-ils être en mesure d’augmenter leur niveau de jeu ?

Difficile d’être au top lorsque les différents matchs ont été des matchs faciles, simple, (basique).

Rarement devant une réelle opposition et dans l’adversité, dans des combats à enjeux, la Nouvelle Zélande pourrait manquer de ce « rythme » des matchs à haute intensité et à haut niveau pour cette finale.

Concernant les sud africains, leur niveau s’est vu face à l’Angleterre et la France.

Avec deux victoires obtenues par 1 points d’écart chacune, l’Afrique du Sud semble à bout de force pour terminer ses rencontres. Une difficulté pour emballer les matchs avec une victoire nette.

Des victoires fragiles donc mais face aux meilleurs nations du monde.

Le rythme est bien présent pour les sud africains. Le haut niveau, l’intensité et l’opposition, ils ont su y faire face à plusieurs reprises dans les phases finales. Ils sont rodés, prêt pour la final.

Avec une équipe exténuée a chaque fin de match, la limite est toujours atteinte. Et c’est bien là le problème.

Pour la finale, la marge de progression semble inexistante pour les Springboks.

Une différence de niveau entre les deux équipes ?

La Nouvelle Zélande a plus rassurée que l’Afrique du Sud.

Des prestations souvent impériales, parfois moyennes.

Les Blacks se sont rassuré sur leur qualité de jeu.

En Face, l’Afrique est poussive, jouant à pile ou face ces deux derniers matchs éliminatoires.

Alors les Blacks, c’est joué d’avance ?

Non.

En terme d’adversité, les niveaux des équipes affrontées par les Springboks est bien au dessus des adversaires affrontés par les All Blacks.

Les sud africains ont plus de rythme en terme de match à enjeux, en terme de combativité. Un très haut niveau qui risque de manquer un peu aux Blacks.

Avantage Afrique du Sud.

Le vainqueur attendu de cette finale.

Quelle équipe va remporter la finale de la Coupe du Monde entre la nouvelle Zélande et l’Afrique du Sud ?

Si l’ensemble des critères abordés dans cet article sont d’importance équivalente, on peut donc en conclure que :

  • La fraîcheur physique, clé du match ? Nouvelle Zélande
  • Psychologiquement, c’est confiance retrouvée vs doute ? Nouvelle Zélande
  • Les leçons des phases finales sur la forme des équipes. Nouvelle Zélande
  • Un match au mental ? Afrique du Sud
  • Quel buteur mettra son équipe sur de bons rails ? Afrique du Sud
  • Le coaching pour débloquer le match. Afrique du Sud
  • Une différence de niveau entre les deux équipes ? Afrique du Sud

Alors, Afrique du Sud vainqueur ?

Les équipes sont très proches l’une de l’autre. A la fin d’un tournoi exigeant pour les organismes, je pense que le critère principal est la fraîcheur physique des joueurs.

S’en suit la confiance affichée et la maîtrise de leur jeu.

Dans ce match au sommet, où la victoire se jouera sur des détails, la mobilité, la fraîcheur et la confiance devrait faire la différence.

Vous l’aurez compris, je vois une victoire de la Nouvelle Zélande pour cette finale.

Pour ce pronostic les bookmakers donnent les All Blacks favoris à 56 %.

Pour cette confrontation Nouvelle Zélande – Afrique du Sud, je pense que les néo zélandais ont plus que 56 % de chances de l’emporter.

La cote 1,77 pour leur victoire est à mon sens trop haute.

Bon pronostic et bon match !

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